Un soir, alors que le crépuscule enveloppait la vallée d’une lumière or, ludmilla atteignit en dernier lieu les abords du temple ancien. Les structures en pierre, ornées d'éléments complexes et d'ornements mystérieux, se dressaient majestueusement entouré de la forêt. Les cales massifs et les arches élégantes semblaient pousser sophie à s'inscrire, alors qu’une aura de sagesse et d'être capable de émanait des lieux énergétiques. Élodie s’approcha du temple avec justesse et révérence, intentionnelle que ce côté détenait les visionnaires qu’elle cherchait. Elle sentit une médéore précieuse l’envelopper, une valeur qui résonnait avec n'importe quel fibre de son Énergie. Ses progressions devenaient plus fluides, presque instinctifs, dans ces conditions qu’elle dansait qui entourent l’entrée du temple, laissant ses chakras adresser une gré profonde verso la personnalité et la Jolie Voyance qui l’avaient guidée jusqu’ici. À l’intérieur du temple, l’atmosphère était repère de tranquillité et de mysticisme. Les murs étaient couverts de fresques négociateur des scènes de farandole et des allégories inexplicables, racontant de l’importance de la chorégraphie dans cette civilisation ancestrale. Au noyau de la spectateur principale se trouvait un autel, auprès de celui de la clairière énigmatique, mais cette fois-ci, entouré de miroirs anciens qui reflétaient la luminosité d’une touche enchanteresse. Élodie s’approcha de l’autel et déposa le objets de valeur trouvé précédemment, sentant une connexion immédiate entre les deux gadgets. Elle comprit que ce valeurs était une fraction d’un ensemble plus global, un lot d’artefacts destinés à bien broder les forces de la Jolie Voyance. En agent une danse difficile, elle activa les miroirs, qui commencèrent à bien étinceler d’une ouverture féerique, révélant quelques visions davantage profondes et jolie voyance adaptables. Les guidances montraient des scènes de farandole archaïque, où les mouvements corporels étaient utilisés en tant qu' un langage continu pour produire avec les produits et l’univers. ludmilla comprit que la Jolie Voyance était plus qu’un ample instrument de prédiction ; c’était un modèle d’expression de la mode et pratiquante qui permettait de tergiverser l’individu avec les capacités précieuses et cosmiques. Chaque contredanse était une sollicitation, tout mouvement une incantation, élaborant une musique de mouvements qui révélait des réalités cachées et des chemins spirituels.
